Rp sur un autre forum

J'étais sur mon bateau...personne au loin..sur mon piètre bateau j'étais la...que du bleu a l'horizon rien d'autre, mon équipage? plus personne, tous sont mort de faim...
Je me dis qu'il fallait mieux que je retourne dans ma cabine chercher ma boussole car j'avais pris comme décision que j'irais droit au nord.
Dans ma cabine était accrocher un tableau de ma famille qui était, et qui je pense, pauvre.
Voila 2 ans que je naviguais sur la me, rien, personne,silence total, voila ce qu'il y avait a bord de mon navire.A ce moment même je me dis qu'il faudrais mieux que je dorme pour ne pas sentir mon mal de ventre, mais je n'arrivait pas à dormir, je pensais trop à ma famille au gens qui sont sur de la terre ferme... non vraiment impossible de dormir.Je décidai de remonter sur le pont, je me dis que je devrais, et que je dois, retourner sur la terre ferme, alors vous savez quoi? Je me mis à prier pour la première fois de ma vie, pendant une demi-heure. Je priais, lorsque j'entendis un cri: quelqu'un était en train de m'appeller(de moi)
Qui as dit un jour "le monde n'est qu'un lieu de transis ?"

9h

L'image n'avait rien de spectaculaire, une plage de sable blanc, sale, des arbres calcinés, le désert. Debout, la silouhette tremblante, la figure tourné vers la mer qui léchait ses bottes, Ewilan protégeait son regard du soleil d'un revers de la main et attendait patiemment qu'un aide se manifeste. La forêt qui, il y a quelques heures, avait été un havre de magnifiçance se laissait désormais consummer par des flammes qui assechait et réduisait en cendres jusqu'au moindre de leur copeaux. Le signal était visible à des kilomètres. Ses poches étaient bourrés de poudre à canon, il n'avait pas fallu grand chose pour allumer cet incendie. Aucun bateau ne pourrait le rater. Détruire cette nature s'était avérer indispensable, l'heure de mourir n'était pas venu. Elle était venue ici par navire. Une bataille violente s'était déclenchée à bord, un conflits marins. La prochaine fois, il faudra songer à voyager avec d'autres camarades que des membres de la basse piraterie.
Un étendard se dressa au loin. C'est l'instant qu'elle choisi pour se lever, sans gesticuler. Si le feu était flagrant, elle n'était qu'invisible et il lui fallait attendre encore deux ou trois heures avant d'entrevoir concrètement la proue de l'arrivant. Il lui sembla, après de longues minutes d'attente, qu'il changea de cap et se dirigea vers son tas de sable. Dans l'attente, fatiguée, elle plia les genoux et s'assied en tailleur à distance respectable de l'eau.

13 H

La deception fut immense lorsqu'enfin elle put distinguer les détails de son sauvetage de fortune. Sans richesse, encore une épave à forbands.

15h

Il passa près de la terre.
D'un pas lent et diminué, sans fierté ni réelle faiblesse, sa carcasse en avait vu d'autre, elle s'en approcha et hurla. Le cri était pour elle comme un appel mais il avait prit un air de plainte déplaisant. Il parut l'entendre, le bateau. Aucun équipage ne s'affolait dessus. L'épave prenait des allures fantomatique qui lui arrachèrent un grognement. Les voleurs sont supersticieux.(de quelqu'un d'autre)
Je me retourna, une personne était assis en tailleur sur une plage, je me dis qu'elle avait sûrement des vivres, je m'approcha d'elle, mis mon canaux a l'eau et vint vers elle.
Je distingua mieux la personne, elle avait des vêtements déchirée, des cheveux longs sale et un magnifique visage. Je dis qu'elle n'aurait pas beaucoup de vivre mais peut-être aucune...
-tu veux venir? elle ne répondit pas et monta dans le bateau.
Je compris donc qu'elle voulait aller dans le bateau, j'ai eu une peur terrible, c'était sûrement une personne affamé, cannibale même peut-être un fou!
De retour sur le bateau, je vis en elle une immense déceptions dans ces yeux, je lui dis:
- Si tu t'attendais à de la nourriture ou quelque chose dans le genre tu peux laisser tomber, vient plutôt dans la cabine il fait meilleure
J'entrai dans ma cabine elle fut plus soulagé que se n'était pas un si vieux bateaux...
-Si tu t'attendais aussi a un équipage...Ils sont tous mort de faim...Désolée.(de moi)
Une petite bête regarda la scène avec attention. Voilà longtemps qu'elle avait échoué là, à bord d'un bâteau qu'il l'emmenait loin de la guerre civile qui s'était déclenché et avait ravagé Oroban il y a si longtemps. Une des silhouette, qu'elle épiait, lui semblait familière. Une brise fit frémir ses moustaches. Au diable ses hésitations. Elle se jeta à l'eau, ses armes tentant de l'entraîner par le fond. Mais l'animal en avait connu d'autres, lui aussi. Il nagea jusqu'au bâtiment qui mouillait un peu au large, un canot le rejoignant lentement. Un silence effroyable régnait à bord. Lorsqu'il se hissa par dessus le bastingage, il ne put s'empêcher de frissoner d'effroi. La Mort régnait, une mort qu'il n'aimait pas du tout, malgré le fait de l'avoir si souvent cottoyée. Avec prudence, il se glissa jusqu'aux silhouettes qui disparaissaient dans une cabine. Il demeurera caché tant qu'il n'aura pas compris la situation. C'est mieux ainsi.(de quelqu'un autre que la personne d'avant...)
Toujours pas de réponse... Alors je me dis que je n'allais pas avoir plus de compagnie qu'avant, pourtant je sentais comme une autre vie a bord...La je me dis que mon estomac me jouais des tours. Je continuais de scruter l'horizon, pareil qu'avant, rien, du bleu.
Alors je pensa a quelque chose, à la prochaine tempête, elle serais la pour m'aider, car la dernière ne fut pas très bien réussit, je l'avait échappé belle, grâce a la chance et à ma niaque de vouloir continuer!
A ce propos, je vois quelque chose de nouveau à l'horizon... Des nuages gris allaient prévoir un belle orage!Ils se raproché vite, ils étaient très noirs...Ils en apparaissent de plus en plus!Alors je cria dans la cabine:
"Viens m'aider toi! Si tu ne veux pas mourir maintenant, viens m'aider à contrer l'orage!"(de moi)
Ewilan n'ajouta rien et laissa le rat se charger de replier les voiles seule, en toute quietude. Il n'était pas dans ses habitudes de perdre son calme, tout en nouant une corde au bastingage, elle tâta sa poche et s'assura que son pistolet pendait bien à sa ceinture. Son arme favorite, elle ne demandait pas qu'on se salisse trop les mains, tuer n'était pas sa tasse de thé. Une nouvelle toux lui racla le fond de la gorge bruyemment et son rouleau de tabac lui échappa des lèvres tandis ce qu'elle jurait. L'averse que pleurait le ciel ne cessait de ruiner le bois du bateau. La peinture était quelque peu écaillé, cette carcasse n'avait pas beaucoup d'âge, elle semblait être jeune, mais déjà bien usé. Quel capitaine fou peut chercher à traverser seul sans équipage l'océan jusqu'à Larbos. Un homme de carrure mais peu d'autorité, il était concentré et encourageait la souris viking à aborder le mat du navire. Du coin de l'oeil, la voleuse put repérer la chaloupe. La plus gros de la tempête était à présent, dans quelques minutes, heures, les nuages se dissiperait. La ville était si loin, on la distinguait à grand peine, il faudrait encore un jour pour y parvenir.

Sans souffer mot, de toute façon, il fallait s'égosiller pour se faire entendre, elle leva le nez et suivit du regard la vertigineuse escalade qu'entretenait le troisième homme, la créature souris. Il lui sembla que le temps s'arrêta, tout allait si lentement. Puis, le ciel parut se calmer, sans pour autant prendre une teinte plus joyeuse. Tout était dans sa tête, elle ne sentait plus les vagues qui frappait le bateau. La mer semblait réellement s'apaiser.
Evasion de courte durée, une rafale caressa la surface de l'eau et une trombe d'eau s'abbatit violement sur la surface boisé. Ewilan perdit l'équilibre et se heurta à la porte d'une cabine. Une douleur inaperçue dont elle s'occuperait plus tard. Seul un hocquetement traître remonta jusqu'à sa gorge.(de quelqu'un d'autre)
xpresso n'avait pas peur des hauteurs. D'ailleurs, il n'avait pas même répertorié ce qu'aurait pu être la peur. Aussi s'acquitta-il de sa tâche non sans peine, mais finalement la tempête se calma. Il ne put retenir un rire en entendant le juron de l'équipière albinos. Il redescendit agilement et regarda la terre se profilant à l'horizon.
"-Capitaine, j'aimerais que nous fassions escale ici. Si la tempête a endommagé le navire, il ne serai pas mal d'évaluer les dégâts sur la terre ferme."
Une chose qu'Expresso n'aimait pas beaucoup: être perdu au milieu d'une masse d'eau... Sur la plage, ça va, mais en pleine mer... Il avait tout simplement hâte de poser pied à terre et peut-être continuer sa route à pied...(de quelqu'un d'autre)