Nom : Laforast
Prénom : Mélanie
Surnom : White
Age/Classe : 20 ans / Formation illustratrice, webmaster
Où pouvons-nous te trouver lors des récréation ? Nul part je suis plus au collège
As-tu bien lu les règles ? Des avertissements tomberont... O oui O non (met en
vert ou souligne la bonne réponse)
Un texte et/ou une image de ta création : Alors image :
Texte :
Les pas résonnaient dans le couloir, je savais
qu'il allait venir me voir mais que me voulais t-il encore, comme si il
en avait pas déjà assez fait. Les pas se rapprochent et se font de plus
en plus lent, une habitude qu'il avait pris pour venir me voir, ce long
moment de pas léger et sourd qui dans ma tête résonne comme des
tambours de guerre. L'angoisse, le trouble, la peur, voilà ce qu'il
désire me faire ressentir. Je revois même dans mes rêves son sourire
satisfait de me voir terroriser a ces pied lui demandant de ne pas
recommencé et son sourire sadique en le voyant s'approcher...très
proche....de plus en plus prés. La poignet se baisse lentement, très
lentement. Mon souffle se coupe, un vent froid, non plutôt glacial, tel
les vent du pôle nord me traverse, mes membre se fige, je ne suis plus
qu'une statue de terreur. La panique m'envahis quand je commence a
voire la porte s'ouvrir tout aussi lentement. J'ai peur. Tout a coups
une ombre fond sur moi et m'attrape par le poignet.
-Vite ! Viens, dit-elle.C'est
une voix roque, ferme qui vient de me claquer cet ordre. Je ne comprend
pas ce n'est pas lui. Inconsciemment je suis cette voix qui me guide
dans tout mes geste, sur et autoritaire est à la fois empreins de
quelque chose d'attirant et de confiant. Je ne vois pas à quoi il
ressemble une grandes cape noir le recouvre de la tête au pied ne me
laissant distinguer qu'un court instant des yeux d'un vert intense. Je
ne réalise pas trop ce qui se passe je c'est juste que c'est sûrement
l'une de mes seul chance de m'en sortir. De partir, de fuir, de lui
échapper. Je ne veut pas savoir ni comprendre qui est cette personne
mais tout ce que je peut me ressasser dans ma tête c'est « Je veut lui
échapper. ». Comme porter par le vent nous filons à travers les
corridors qui nous sépare de la sortie. Je reconnais peut à peut ce
chemin que j'ai emprunter dans le sens opposer il y a de ce là je ne
sais plus combien de temps. Était-ce il y un ans, trois ans ou
peut-être dix... je ne sais plus. Je suis perdu, le temps passer dans
cette enfer avec comme seul visite, lui, m'a semblais si long une
éternité. Si ça ne tenait qu'à moi je dirais que cela fait plus de deux
cent ans que je suis prisonnière de ces main qui parcours mon corps
régulièrement et qui me ténorise.
-Tu ne craint rien je vais te sortir de là, me dit l'ombre.Je
sens sa main se refermer un peut plus fort sur la mienne tout en me
disant ça. Je n'avais même pas remarqué que j'avais resserré ma prise
sans le vouloir sur la main prise de panique de ressasser ces évènement
passer. Les couloirs défile, cette distance si courte a parcourir me
semble une éternité. Je revois toutes les horreurs que j'ai vécue dans
cet endroit, des flash horribles et à la fois qui me semblent si
libérateurs ; en voyant cette porte que je n'ai franchis il a tellement
de temps maintenant, ces souvenir me semble ne faire partie que d'un
mauvais rêve. En tournant la tête, au font d'un des corridor qui
traverse ce chemin de liberté, je le vois un sourire mal veillant sur
les lèvres. Pourquoi se sourire ? Je te fuit est tu souris.
-Pourquoi ? S'échappe de mes lèvres à peine ouvertes.Je
n'ai put retenir c'est mots. Il me brûler la langue. Tel un murmure
inaudible qui résonne dans ma tête je peut comprendre ce que sa phrase
silencieuse me répond. Cette phrase qui me fait peur « La chasse est
ouverte petite souris ». Le temps m'a semblé ralentir quand j'ai lu ça.
Il ne me lâchera pas. L'angle du corridor me fait reprendre mes
esprits, la porte n'est plus qu'à une dizaine de mètre de moi
maintenant. La délivrance se rapproche, me rend si heureuse et me fait
si peur à la fois. Je ne me souvient plus de comment c'est dehors,
comment vais je me mouvoir dans un monde qui est maintenant pour si
loin et si différant. Tel un nouveaux monde que l'on découvre. La
porte. Je vois cette ombre posait sa main sur la poignais et la
baisser. Je ferme les yeux ébloui par une lumière que je n'ai vue de
puis tellement longtemps. Une lueur forte et puissante, chaude. La seul
chaleur que je ressentais dans cet endroit n'était que le feu qu'il
dégageait à chaque fois qu'il venais me voir. Le feu de l'enfer est, je
suis sur, plus doux que ce feu qu'il dégageait ; qui chaque jours me
brûler, un peu plus, et me dégouttais, un peu plus, de moi même. C'est
chaud, mais si agréable, pas brûlant comme lui mais plutôt doux. Une
légère brise se faufile sous mon tee-shirt le soulevant un peut et
caressant m'a peau blanche et pâle. C'est doux pas comme ses main qui
parcourais mon corps avec avidité. Je ne vois rien mais cette main
refermer sur la mienne me guide à travers cette lueur qui parcoure tout
mon corps le réchauffant de ses rayon de douceur. J'entends derrière
nous des pas légers, il à dut lancé ses chien à prés nous. J'entends
comme une retenus de souffle, il a dut se faire mordre. Le chien pousse
un jappement je sent que l'on me soulèvent légèrement et que deux
autres main m'attrape sous les aisselles et me tire au dessus d'un
obstacle qui me semble être un mur. J'entends la personne qui m'a
jusque là aidé à fuir se hisser à côté de moi avec un peut de
difficulté. Il semble souffrir.
-Saute tu ne risque rien, me dit une voix féminine à côté de moi.Je
saute et me sent atterrir sur quelque chose de moelleux. J'entends les
deux personnes parler dans une langue qui m'est inconnue. Je sens comme
une brève secousse venant de devant moi, puis le démarrage d'une
voiture. J'ai du atterri sur la banquette arrière de l'une d'entre
elle. Elle commence à avancé et je sent la vitesse me fouetté le
visage. Ma tête est lourde je me sent sombré dans les méandre de
l'inconscience.
Peu à peu je submerge et reviens à la
réalité je ressent quelque chose d'humide et de frais sur mon front. Je
commence à entre ouvrir les yeux. La lumière ne me dérange pas, elle
n'ai ni vive ni aveuglante. Je parvient a ouvrir les yeux et vois,
pencher sur moi, un ange. Elle s'éloigne et tourne vivement la tête
faisant virevolter ses long cheveux blond dont de douce anglaise on
trouvé refuge. En ce retournant vivement elle appel quelqu'un, je n'ai
même pas réussie à entendre quel nom elle prononcé, tellement j'étais
subjuguer par la beauté de ses cheveux. Elle retourna son visage
angélique vers moi et de sa voix douce ses parole firent chaud au coeur.
-C'est fini tu ne risque plus rien ici, me dit-elle.Elle
avait un visage fin et doux, de longue anglaises lui descendaient
jusqu'à la taille. Elle portait une chemise blanche ne cachant pas ses
forme parfaite et une jupe moulante bleu mer ne camouflant pas ces
atout. Des ballerine mettaient en avant sa petite pointure. Une taille
fine et des hanche large, cette femme était vraiment un ange descendue
du ciel ; jamais je n'avais vu une personne aussi belle et parfaite.
Un
homme de taille moyenne apparue derrière elle. Son regard été dur, sur
de lui et fière mais à la fois empreint d'une grande tendresse à mon
égard et ce lui de cette ange. Je reconnue les yeux vers captivant que
j'avais vue : « L'Ombre ». Il avait des cheveux mie long, lui arrivant
au niveau des épaules, très bien discipliné châtain. Il était très
élégant, on le devinait bien par son costard crème, sa cravate grena et
ses chaussure de haute gamme. Il était un peut mal raser avec un léger
bouc et une légère moustache ce qui lui procurait une certaine
attraction. Je le vis approchais, un peut boiteux, s'appuyant sur une
cane de bois sombre, vernie, et dont le manche représenter une tête de
chien en argent.
-Tu es enfin réveillé, me dit-il d'une vois douce. Comment te sens tu ?Je
ne savais quoi dire. Était-ce encore une de c'est ruse ou était-ce la
vérité. Je ne sais plus. Je me prend la tête entre les mains en guise
de protection.
-Tu ne risque rien ici nous ne te feront aucun mal, me rassure l'ange.
-Te rappel tu de ton nom petite ? me demande l'homme.Je secoue la tête négativement d'un air timide et confus.
-Ce
n'ai pas grave ne t'inquiète pas on va t'en trouvais un autre et tu
pourra recommençais une vie au point zéro, me dit l'homme tout en
s'agenouillant difficilement prés de moi et me posant une main
réconfortante sur la tête.L'homme lève les yeux
vers le plafond tout en faisant un drôle de son de réflexion intense.
Sa me fait sourire, c'est rigollot comment il fait. Il commence à
levais sa main en désignant le plafond. Je suis son doit du regard pour
finir par me perdre dans le blanc du plafond. Je suis surprise de ne
rien y voir. Puis un grand
« Eréka » me fait sursauté et mon attention se fixe sur l'homme au sourire tout fière de lui.
-Nyne, c'est bien Nyne c'est tout mignon digne d'une petite princesse comme toi, me dit t-il tout excité et souriant.
-Pff, souffle l'ange. Un vrai gamin, dit-elle toute souriant.
-Sa te plais Neye ? Peut-être que tu trouve sa trop banale ?
-Non, j'aime, répond-je.La surprise, à mes première parole, ce lie sur son visage. Puis il se reprend très vite.
Livre préféré : Le seigneur de anneaux JRR Tolkien
Autre chose à déclarer ? Je suis la grande sœur de Justine j'étais à François Villon il y a un moment.
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